Quand on fixe ses tarifs de traduction, il faut définir un montant minimum de facturation…
Mon premier forfait minimum était l’équivalent d’une heure de travail et je l’appliquais à tout texte jusqu’à 500 mots. Il a régulièrement augmenté depuis mes débuts. En le fixant à 150 EUR, le doute s’est installé. Je m’étais donné un objectif de revenus ambitieux et je n’étais pas certaine qu’émettre des factures de 150 EUR soit compatible avec mon objectif…
… et définir le minimum qui nous convient…
En plus, il y a des jours où j’ai l’impression de faire une multitude de petites « tâches » pour mes clients… pas de notion de projet … sans vraie valeur ajoutée… et toutes ces petites factures à émettre, ça prend du temps… Et soudain, l’idée m’est venue comme un flash ! AUGMENTER ce forfait minimum à 375 EUR (l’équivalent d’une demi-journée de travail pour moi). Mais sur le coup je n’ai pas osé…
Je pense pourtant que cette idée mérite réflexion :
– pour les petites tâches répétitives, je pourrais proposer un forfait mensuel à mon client ; forfait qui serait à payer, que le temps soit consommé ou pas (ça forcerait le client à s’organiser et ça me permettrait de mieux utiliser mon temps).
– Considérer qu’un forfait minimum élevé « filtre » les clients et les projets et réoriente mon activité sur des projets un peu plus stratégiques où j’ai l’impression d’apporter un plus (du rédactionnel, du conseil) au client ? C’est important pour mon épanouissement au travail.
– Au niveau positionnement, je trouve ça bien. Je ne connais pas de consultant, par exemple, qui facture une seule heure de travail.
Je vous explique le pourquoi et le comment dans la vidéo !
Et vous avez-vous pensé à votre montant de facturation minimum ?
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